www.lanturlu.fr.st

A propos de l'association Savoir Sans Frontières de Jean-Pierre PETIT

le mur du silence

Le samedi 17 septembre 2005

Tous les liens de cette page s'ouvrent dans une nouvelle fenêtre qu'il vous suffit de refermer pour retrouver la présente page.

Pourquoi cette page ?
Rapide présentation du contexte de la polémique
Rapide résumé de ma version des faits
Mon analyse du paragraphe me mettant en cause
L'ensemble des courriels et lettres que j'ai expédiés
Conclusion ?
Bilan au bout d'un an
2006 : Au bord de la faillite
2009 : A nouveau au bord de la faillite
2010 : De nouveau au bord de la faillite

 

Pourquoi cette page ?

Pour exposer ce qui a amené Jean-Pierre PETIT, retraité du CNRS, webmaster du site http://www.jp-petit.com/ [maintenant devenu http://www.jp-petit.org/] à s'en prendre à moi sur son site internet, à la page Free Downloads (au bas du paragraphe "2 - Anglais , English") et à la page For a Fistful of Amperes.
Voici la reproduction du paragraphe incriminé :

Cette traduction avait été sponsorisée par un certain Sylvain Roques, dont voici la photo :

Murphy a fait cette traduction avec son professionnalisme habituel. Mais Roques s'est déclaré insatisfait de la forme finale du fichier pdf, dénotant "du mauvais anglais" ainsi qu'une différence des tailles des pages entre celles qui servaient à présenter la BD et le document traduit lui-même. Il est allé jusqu'à critiquer des aspects .. juridiques, s'est répandu en mails fort désagréables, à mon adresse puis à celle d'autres sponsors et, plus récemment, du traducteur. Depuis deux semaines je lui réclame sans succès son adresse postale afin de pouvoir lui retourner ses 150 euros, en prenant moi-même en charge cette traduction et en sortant ce personnage indélicat de cette opération, qui relève plus de l'humanisme que du commerce, chose qu'il ne semble pas avoir très bien compris. Je suis étonné de ne pas recevoir de réponse à mes messages. J'ai un chèque de 150 euros, signé de la main et libellé à son nom, prêt à partir à l'instant.

Ce message restera en place jusqu'à ce que ce monsieur nous ait donné la possibilité de le rembourser de son "investissement".

 

Rapide présentation du contexte de la polémique

En juin 2005, Jean-Pierre PETIT a proposé de mettre en téléchargement gratuit les traductions en différentes langues de ses excellentes bandes dessinées de la série Lanturlu. Il a lancé un appel à des traducteurs bénévoles ainsi qu'a des sponsors afin de payer des traducteurs pour certaines traductions.
Dans le cas d'un sponsor prenant en charge la totalité des frais de traduction d'un album complet, le sponsor devait avoir droit, selon l'engagement de Jean-Pierre PETIT à "une page - sponsor ( vous avez la page complète et vous pouvez y mettre ce que bon vous semblera, qui sera converti dans la langue dans laquelle l'album aura été traduit )".
La phrase mise en gras ci-dessus est extraite de la page Particuliers, sociétés, sponsorisez des traductions des BD des Aventures d'Anselme Lanturlu

 

Rapide résumé de ma version des faits

Jean-Pierre PETIT n'a pas respecté ses engagements à mon égard, ni à l'égard d'autres sponsors, n'a tenu aucun compte des suggestions légitimes et fondées qui lui étaient faites afin de corriger plusieurs défauts évidents qui étaient
- dommageables pour la qualité des albums proposés
- dommageables pour les traducteurs
- dommageables pour la diffusion des albums
- dommageables pour les sponsors
et il a "pêté les plombs" quand il s'est aperçu que je tentais d'alerter les autres sponsors sur ces problèmes et sur les moyens éventuels de les corriger.

 

Mon analyse du paragraphe me mettant en cause

En rouge les allégations de Jean-Pierre PETIT, en bleu mes remarques

Cette traduction avait été sponsorisée par un certain Sylvain Roques,

C'est partiellement faux.
J'ai souhaité sponsoriser cet album complet au nom d'une société en prévision de sa création éventuelle en automne 2005. Jean-Pierre PETIT le sait parfaitement puisque je lui ai transmis le logo et qu'il l'a fait figurer en tant que sponsor de l'album :

vue du logo dans l'album fistful of amperes

En outre on remarque que bien qu'ayant sponsorisé l'album complet, le sponsor n'occupe pas la page complète, contrairement à l'engagement de Jean-Pierre PETIT.

dont voici la photo :

C'est bien ma photo, et voici mon autographe : sylvain roques écrit en manuscrit

Murphy a fait cette traduction avec son professionnalisme habituel.
Cette remarque est hors sujet et purement manipulatoire.
Elle est hors sujet car je n'ai jamais mis en cause la traduction de John Murphy, bien au contraire : je l'ai félicité par courrier (voir la liste chronologique des courriers ci-dessous). En fait, c'est l'inverse : c'est parce que la traduction de John Murphy est excellente que, par contre-coup, le paragraphe de présentation rédigé en anglais par Jean-Pierre PETIT, sans correction par le traducteur, apparait médiocre.

introduction de l'album fistful of amperes en anglais médiocre

Or l'album stipule que le traducteur de l'ensemble de l'album est John MURPHY : pour un lecteur anglophone, à qui s'adresse l'abum, cela implique que le traducteur est médiocre.
Il est, au minimum, maladroit d'inclure du mauvais anglais dans un album traduit professionnellement, mais refuser les suggestions répétées de correction ce n'est plus de la maladresse, c'est la marque d'un certain mépris pour le traducteur, pour le sponsor, pour le lecteur anglophone, et, au final, pour son propre travail.
J'ose qualifier cela de sabotage.

Mais Roques s'est déclaré insatisfait de la forme finale du fichier pdf, dénotant "du mauvais anglais"
Je le confirme : l'anglais de Jean-Pierre PETIT, bien que compréhensible, est bel et bien "du mauvais anglais". Vous noterez que si Jean-Pierre PETIT n'avait pas parlé du professionnalisme du traducteur, vous vous seriez demandé QUI avait traduit l'album ou bien QUEL PASSAGE de l'album était mal traduit. La remarque précédente induit que le mauvais anglais dont il est question serait celui du traducteur, ce qui est parfaitement faux.

ainsi qu'une différence des tailles des pages entre celles qui servaient à présenter la BD et le document traduit lui-même.
C'est partiellement faux. Contrairement à ce que Jean-Pierre PETIT essaie de faire croire, il n'y a aucun problème d'échelle entre les pages dans l'album que j'ai sponsorisé. C'est sur UN AUTRE album qu'il y a ce problème. Jean-Pierre PETIT sait parfaitement expliquer les choses clairement quand il le veut (la preuve : il fait des BD de vulgarisation scientifique !) mais il sait aussi parfaitement faire l'inverse : rédiger de façon suffisamment ambiguë pour pouvoir dire que c'est le lecteur qui a mal compris ce qu'il voulait dire.
En fait c'est quand j'ai noté un problème de qualité d'anglais sur l'album que j'ai sponsorisé que je suis allé voir sur UN AUTRE album s'il n'y avait pas, par hasard, le même problème. Et j'ai constaté SUR CET AUTRE ALBUM qu'il y avait de nouveau un problème avec l'anglais de Jean-Pierre PETIT mais qu'il y avait EN PLUS, sur cet autre album, un problème d'échelle entre les pages :
couverture economiconintroduction economicon
J'ai signalé la chose, ce qui était parfaitement légitime et fondé. La façon dont je l'ai signalée (voir les courriers reproduits ci-dessous) ne justifie absolument pas que Jean-Pierre PETIT réagisse comme il le fait.

Il est allé jusqu'à critiquer des aspects .. juridiques,
Je confirme que Jean-Pierre PETIT ne s'est absolument pas préoccupé des aspects juridiques de son opération, ce qui est CONTRAIRE au but qu'il s'était fixé. Quand on souhaite mettre une oeuvre dans le domaine public, on le dit en termes clairs. Il existe des tas de personnes travaillant en freewares, en copyleft etc.. Toutes ces personnes font clairement figurer sur leurs créations les clauses de redistribution, utilisation, reproduction, modification etc... qui correspondent au mode de distribution choisi. Dire exactement quels sont les droits que l'on abandonne et ceux que l'on conserve, c'est le minimum que doit faire un créateur, et c'est le minimum de politesse vis à vis de l'utilisateur final qui souhaite lui aussi savoir exactement ce qu'il a droit de faire ou de ne pas faire afin de ne pas se mettre en facheuse posture. Tous ceux qui diffusent leur travail via internet savent que c'est leur intérêt, celui des utilisateurs et celui de leur oeuvre. Tous le savent sauf Jean-Pierre PETIT qui ne VEUT PAS être clair sur ce point : il ne peut alléguer l'ignorance sur le sujet puisqu'il a publié de nombreux ouvrages et connait parfaitement les différents aspects du droit d'auteur.
J'ai évoqué les aspects juridiques déficients, ce qui était parfaitement légitime et fondé. La façon dont je les ai évoqués (voir les courriers reproduits ci-dessous) ne justifie absolument pas que Jean-Pierre PETIT réagisse comme il le fait.

s'est répandu en mails fort désagréables, à mon adresse puis à celle d'autres sponsors et, plus récemment, du traducteur.
C'est faux : mes courriers n'ont jamais été désagréables, il suffit de les consulter (liste ci-dessous) pour s'en apercevoir.
Si j'ai contacté les autres sponsors et le traducteur c'est parce que Jean-Pierre PETIT s'est obstiné à ne tenir aucun compte de mes remarques pourtant fondées et légitimes. Inexplicablement il s'est complètement désintéressé de la qualité de son travail, ce qui nuisait à tous les intervenants : sponsors, traducteur, lecteurs et, in fine, au projet en lui-même.
Aucune des personnes que j'ai contactées n'a réagi défavorablement, hormis une pour qui la qualité de ce qu'il finançait n'avait manifestement aucune importance (et qui a de plus manqué à la plus élémentaire des courtoisies en transmettant directement mon courrier à Jean-Pierre PETIT).

Depuis deux semaines je lui réclame sans succès son adresse postale
Mon adresse figurait sur les chèques que je lui ai envoyés et elle figurait AUSSI sur la lettre qui accompagnait les chèques. Force est de constater que malgré un nombre assez faible de sponsors Jean-Pierre PETIT ne garde aucune trace d'eux. Ajoutons à cela que je suis celui qui a apporté la plus forte contribution au projet et au total cela fait que j'appelle une telle attitude "mépris" ou "je-m'enfoutisme".

afin de pouvoir lui retourner ses 150 euros
Ce n'est pas 150 euros que me doit Jean-Pierre PETIT : c'est 200.
En effet j'ai aussi sponsorisé pour 50 euros, et effectivement à titre personnel cette fois, la traduction d'un album au choix de Jean-Pierre PETIT (chèque en blanc). Or Jean-Pierre PETIT n'a pas non plus respecté ses engagements concernant l'album sur lequel il a lui-même choisi d'affecter ma participation (album en catalan "ventafocs 2000") : ma photo en tant que sponsor y apparait avec mon nom mais sans aucune information de contact, contrairement aux engagements de Jean-Pierre PETIT, et alors que j'avais expressément demandé à ce que soit mentionnée l'adresse de mon site internet personnel.
couverture ventafocsintroduction ventafocs

en prenant moi-même en charge cette traduction
Il eut été préférable de le faire dès le départ : quand on ne sait pas gérer correctement une liste avec deux sponsors et trois tondus, quand on est incapable de respecter ses propres engagements, mieux vaut effectivemnt ne pas se lancer dans un appel à sponsors et se débrouiller tout seul.

et en sortant ce personnage indélicat de cette opération,
Si dans l'histoire il y a un personnage indélicat, c'est celui qui ne note pas les adresses de ses sponsors, flanque leurs lettres à la poubelle, se fiche complètement de la qualité de son travail ainsi que de ceux qui l'encouragent en lui envoyant des chèques, puis ne trouve rien de mieux à faire que ce qu'il croit être un chantage. Pour information, le chantage c'est quand on DEMANDE de l'argent, pas quand on veut en DONNER... et surtout pas quand on ne peut rembourser quelqu'un parce qu'on a été trop buse pour noter son adresse.

qui relève plus de l'humanisme que du commerce
L'humanisme qui consiste à demander de l'argent pour ensuite ne pas respecter ses engagements et détriment de la qualité, c'est un drole d'humanisme, surtout quand cela se double d'une tentative de chantage foireuse.

chose qu'il ne semble pas avoir très bien compris.
Je ne sais pas si j'ai bien compris l'humanisme mais au jour de la rédaction de cette page, j'étais le sponsor ayant apporté la plus grosse contribution et celui qui se souciait le plus de la qualité du résultat.

Je suis étonné de ne pas recevoir de réponse à mes messages
J'ai la chance de bénéficier des conseils d'un véritable homme d'affaires, Mr Derek Walkin, à qui j'ai acheté une licence et qui me fait l'honneur de ne pas s'être contenté d'encaisser mon chèque et d'oublier mon adresse, lui. Or ayant impliqué un logo et un nom prévisionnel de société, avec son aval, j'ai pris conseil auprès de lui sur la conduite à tenir face au coup de calcaire imprévu de Jean-Pierre PETIT. Pour diverses raisons que je ne détaillerai pas outre mesure, il se trouve que Mr Derek Walkin me conseille de faire le mort.

J'ai un chèque de 150 euros, signé de la main et libellé à son nom, prêt à partir à l'instant.
Il n'y a plus qu'a le déchirer pour en rédiger un autre avec le montant correct, à savoir 200 euros, ou bien à le compléter par un deuxième chèque de 50 euros.

Ce message restera en place jusqu'à ce que ce monsieur nous ait donné la possibilité de le rembourser de son "investissement".
Ce message restera en place jusqu'à ce que Mr Derek Walkin me donne de nouvelles instructions à ce sujet.
(Note du 13 janvier 2006 : mettant à jour cette page - voir "Epilogue" au bas de la page - je constate que Jean-Pierre PETIT a retiré de son site le paragraphe avec ma photo, bien que je ne me sois pas préoccupé de me faire rembourser. J'ignore à quelle date exactement a été effectué ce retrait, ne m'étant plus soucié de cette histoire depuis la mise en ligne de la présente page en septembre 2005)

 

L'ensemble des courriels et lettres que j'ai expédiés

à Jean-Pierre PETIT et à d'autres intervenants, dans l'ordre chronologique

Des passages ont été parfois supprimés pour préserver l'anonymat de certains correspondants

04 juin 2005 Demande de renseignements concernant la possibilité qu'une entreprise soit sponsor
Jean-Pierre PETIT : Refus
13 juin 2005 Premières suggestions concernant la présentation des liens "BD" sur le site de Jean-Pierre PETIT.
15 juin 2005 Deuxièmes suggestions concernant la présentation des liens "BD" sur le site de Jean-Pierre PETIT.
Jean-Pierre PETIT : décide d'ouvrir le sponsoring aux entreprises.
16 juin 2005 Demande de renseignements complémentaires concernant le sponsoring par une entreprise.
19 juin 2005 A propos de l'envoi des chèques et suggestions à propos de la page 2 des albums.
20 juin 2005 Lettre. Envoi de l'argent et suggestions à propos de la page 2 des albums.
23 juin 2005 Envoi photo et logo pour la page 2 des albums.
28 juin 2005 Envoi de mon information de contact pour la page 2 de l'album en Catalan et remarques concernant la présentation des liens "BD" sur le site de Jean-Pierre PETIT.
Jean-Pierre PETIT : l'album "Fistful of amperes" est terminé.
25 août 2005 Précisions concernant la page 2 de l'album "Fistful of amperes" et les aspects juridiques.
26 août 2005 Nouvelles précisions concernant la page 2 de l'album "Fistful of amperes" et les aspects juridiques.
28 août 2005 Demande de corrections concernant des erreurs sur la page 2 de l'album "Fistful of amperes". Nouvelles précisions concernant les aspects juridiques.
29 août 2005 Nouvelle demande de corrections concernant des erreurs sur la page 2 de l'album "Fistful of amperes" et concernant les aspects juridiques.
02 septembre 2005 A propos des erreurs sur la page 2 de l'album "Fistful of amperes" et concernant les aspects juridiques, destinataire : le sponsor d'un album en anglais
03 septembre 2005 A propos des erreurs sur la page 2 de l'album "Fistful of amperes" et concernant les aspects juridiques, destinataires : divers contributeurs dont l'email a été relevé sur le site de Jean-Pierre PETIT
Exemple de réaction d'un contributeur
04 septembre 2005 A propos des erreurs sur la page 2 de l'album en Catalan et concernant les aspects juridiques, destinataire : le traducteur d'un album en Catalan
04 septembre 2005 A propos des erreurs sur la page 2 de l'album "Fistful of amperes" et concernant les aspects juridiques, lettre au traducteur de l'album en anglais
Jean-Pierre PETIT : 04 sept., me demande mon adresse pour me rembourser.
Jean-Pierre PETIT : 07 sept., me demande à nouveau mon adresse pour me rembourser et à défaut de réponse me menace de publier le texte de mon dernier courriel.

Mon mentor, Derek Walkin, me conseille de faire le mort.
Jean-Pierre PETIT : 09 sept., idem que 07 sept (Version Longue).
Jean-Pierre PETIT : 13 sept., délai dépassé. Me signale qu'il n'a pas encore eu le temps de s'occuper de moi et que mon absence de réaction ne le surprend pas.

Jean-Pierre PETIT : 15 sept. matin, idem 04 sept. (avec copie au traducteur anglais)
15 septembre 2005 Conclusions de l'histoire, destinataire : le traducteur de l'album en anglais
Jean-Pierre PETIT : 15 sept. après-midi, idem 04 sept. + en pièces jointes les deux pages HTML de son site avec le paragraphe à mon propos.

 

Conclusion ?

Je laisserai la conclusion à Jean-Pierre PETIT.
« Je suis très fatigué. Très souvent les yeux me brûlent à force de passer quotidiennement toutes ces heures devant cet écran. Depuis la mort de mon fils, il y a 15 ans je n'ai jamais pu me passer de drogues diverses pour dormir, en dépit de multiples tentatives de seuvrage. Quelque fois cela ne marche plus quand je tire un peu trop sur la ficelle et que j'atteins le seuil du surmenage. Quand mes lecteurs voient le rythme avec lequel de nouveaux dossiers apparaissent ils doivent bien s'imaginer que cela ne se fait pas d'un coup de baguette magique. »
(Extrait de sa page http://www.jp-petit.com/science/soleil_en_colere.htm mise en ligne le 16 sept. 2005)

 

Epilogue

logo radio Canadienne Choc FMFrançois C. Bourbeau, journaliste à la radio Canadienne Choc FM a réalisé une première émission sur Jean-Pierre PETIT le mardi 29 Novembre 2005 qui lui a valu diverses récriminations de la part de Jean-Pierre PETIT mais aussi de ses supporters. Ceci l'a amené à se pencher plus avant sur le sujet "JPP".
Ayant été moi-même victime du manque de professionalisme de Jean-Pierre PETIT, je l'ai signalé par courriel à François C. Bourbeau, avec l'adresse de la présente page. François C. Bourbeau m'a contacté le 06 janvier pour obtenir mon témoignage, qui a été enregistré par téléphone.
Ce témoignage a été diffusé lors de l'émission Contact Choc du mardi 10 janvier 2006 à 21h (heure Canadienne, mercredi 11 janvier 2006 à 3h00 heure française).
Rediffusion le dimanche 15 janvier 2006 à 22h (heure Canadienne, lundi 16 janvier 2006 à 4h00 heure française)

Ecouter les 20 premières secondes de l'interview
(mp3 - 41 Ko)
 
Cet extrait "audio" de l'émission CONTACTS CHOCS
produite par le journaliste et ufologue québécois François C. BOURBEAU
Fondateur du Réseau OVNI-ALERTE
est dûment autorisé par la direction du site ovni-alerte.com
Vous pouvez écouter l'émission complète sur la page
http://www.ovni-alerte.com/video.php?id=contacts_chocs&pg=3.
Mon témoignage se situe de 22' à 35'

Sylvain ROQUES

P.S. : contrairement à ce que certains pourraient penser, cette page n'est pas un rêglement de compte, et encore moins une vengeance. C'est la simple mise à disposition du public d'une information destinée à éviter à d'autres que moi d'être victimes du même problème que moi. Ce n'est pas la première fois que j'utilise ce procédé pour dénoncer les malversations de quelqu'un à mon encontre. Ce type de déballage en public entraîne généralement les fautifs à la réflexion, et ils évitent de recommencer leurs indélicatesses avec d'autres, dans leur propre intérêt, au cas où ils tomberaient de nouveau sur une personne dans mon style et qui ferait comme je le fais, une page internet pour tout déballer. En outre, ceux qui auraient pour projet de "m'entuber" sont habituellement dissuadés de mettre leurs funestes projets à exécution et ils passent leur chemin une fois qu'ils ont compris à quoi ils s'exposeraient, ce qui m'évite préventivement quelques déboires.

 

Bilan au bout d'un an

8 juin 2006
Mon principal reproche vis à vis de Jean-Pierre PETIT était le non-respect de ses engagements.
Un de ses engagements, avant la création de son association officielle, était le suivant :

Chaque BD traduite sera mise en ligne au format pdf. John mettra sa photo, qu'il ne m'a pas encore envoyée ( je mettrai aussi la mienne, tant qu'à faire ) , mais sur cette pleine page consacrée à la traduction figureront les photos de gens ayant contribué à financer cette traduction ( sans faire figurer les montants des uns et de autres ).
N'oubliez pas vos photos !
A chaque fois qu'une nouvelle BD sera traduite vous la verrez apparaître sur le site en téléchargeable gratuit.
Dites vous bien que ces fichier pdf partiront dans le monde entier et seront dupliqués n fois, sans limitation de temps. Ainsi des tas de gens dans le monde sauront, de manière indélébile, que vous avez été sponsor. En mettant en bas de page : "pour remercier les gens qui ont financé cette traduction en anglais, envoyez un message à tel e-mail" vous pourrez peut être recevoir des messages émanant d'endroit fort éloignés.

Source : page Particuliers, sociétés, sponsorisez des traductions des BD des Aventures d'Anselme Lanturlu

C'est, en partie, sur la base de cette proposition que des gens ont contribué financièrement au projet avant la création de l'association "Savoir sans frontières".
Après création de l'association "Savoir sans frontières", on constate que cette proposition ne figure pas dans les statuts de l'association et on constate que les BD produites ne comportent aucune indication concernant les sponsors : ni photo, ni email.
Avant création de l'association, le discours était « Payez pour diffuser les bandes dessinées de Jean-Pierre Petit en échange de la possibilité d'entrer éventuellement en contact avec des gens de l'autre bout du monde ». C'est d'ailleurs toujours ce discours, mensonger, que l'on peut lire au bas de la page de téléchargement des albums.
Mais après création de l'association, la réalité constatable est légèrement différente, c'est : « Payez pour diffuser les bandes dessinées de Jean-Pierre Petit ».
Pour ceux dont la motivation était uniquement la diffusion des bandes dessinées de Jean-Pierre Petit, cela n'a fait aucune différence.
Les autres ont simplement pu constater que les promesses faites par jean-Pierre PETIT sur son site internet n'engageaient que ceux qui y croyaient.

Humour : Le jeu des Une erreur...
Saurez vous trouver la différence entre les deux versions ?

Jeu N°1 : Version du 14 09 2005 | Version actuelle

Jeu N°2 : Version du 14 09 2005 | Version actuelle

 

Au bord de la faillite

06 octobre 2006
Un internaute me signale que Jean-Pierre Petit lance un appel à dons pour son association Savoir Sans Frontières qui est au bord de la faillite.
Pourquoi ne suis-je pas étonné ?
Il me demande aussi de relayer son action destinée à aider (je cite) « l'idée géniale » de Jean-Pierre PETIT.
Dans un premier temps, j'ai répondu NON ! parce que, paradoxalement, ce qui est proposé est effectivement ce qu'il faudrait faire pour sauver l'association Savoir Sans Frontières... action par conséquent vouée à l'échec puisque ce qu'il faudrait faire c'est très précisemment ce que Jean-Pierre PETIT a délibéremment refusé de faire dans mon cas !
Dans un deuxième temps, ma foi, bien que l'action proposée ait, à mon humble avis, bien peu de chances de réussir, il est vrai que qui ne tente rien n'a rien.
L'action proposée par cet internaute est l'envoi d'une lettre type à Jean-pierre Petit. Je conseille FORTEMENT aux internautes voulant participer à cette action de le faire de manière anonyme afin de couper court aux risques de crise de colère de Jean-Pierre PETIT et, surtout, je conseille de ne faire AUCUN DON.

 

A nouveau au bord de la faillite

21 février 2009
Nous sommes plus de deux ans après la précédente mise à jour.
Un internaute me signale que Jean-Pierre Petit lance à nouveau un appel à dons pour son association Savoir Sans Frontières qui est à nouveau au bord de la faillite.
Pourquoi ne suis-je à nouveau pas étonné ?
Je conseille à nouveau FORTEMENT aux internautes voulant participer à cette action de le faire de manière anonyme afin de couper court aux risques de crise de colère de Jean-Pierre PETIT et, surtout, je conseille à nouveau de ne faire AUCUN DON.
Ce dernier point a chagriné quelques (fort rares) internautes durant les deux ans écoulés. Je profite donc de cette mise à jour pour expliquer à nouveau que si les internautes étaient autorisés à héberger les albums sur leurs propres sites internet afin de les mettre en téléchargement à leur tour, la diffusion des albums se ferait sur le principe de la boule de neige. L'ennui c'est que ce type de rediffusion n'est pas souhaité par l'association Savoir Sans Frontières.
L'internaute me signale aussi qu'il y a du mieux dans les conditions de rediffusion stipulées dans les albums eux-mêmes : il est maintenant autorisé la diffusion sur intranets. Sauf que... Les intranets ne sont pas accessibles par internet, donc c'est une impasse.
Il ne peut PAS y avoir de diffusion "boule de neige", donc pas de nouveaux internautes découvrant les albums, donc pas de nouveaux donateurs éventuels, donc pas de financement, et donc le système ne peut QUE péricliter, en se relançant de temps à autre par un appel aux dons reposant UNIQUEMENT sur la capacité de mobilisation que peut déployer Jean-Pierre PETIT via son site internet.
Ce qu'il faudrait faire c'est ce qui est expliqué dans la lettre évoquée au paragraphe précédent, lettre dont l'effet a manifestement été nul depuis deux ans (si tant est que des internautes l'aient utilisée...)
L'association Savoir Sans Frontières est toujours dans l'impasse, par construction, et son fondateur ne semble toujours pas disposé à l'en sortir. C'est "compréhensible" : il faudrait faire ce qui a été proposé dès le début, or si cela n'a pas été fait c'est parce que ce n'était pas la bonne solution ! (cherchez l'erreur...)
Rendez-vous dans quelques années pour la suite du feuilleton.

 

De nouveau au bord de la faillite

29 décembre 2010
Nous sommes cette fois moins d'un an après la précédente mise à jour.
Un internaute me signale que Jean-Pierre Petit lance de nouveau un appel à dons pour son association Savoir Sans Frontières qui est de nouveau au bord de la faillite.
Pourquoi ne suis-je de nouveau pas étonné ?
Je conseille de nouveau FORTEMENT aux internautes de ne faire AUCUN DON.
Je profite de cette mise à jour pour expliquer de nouveau que si les internautes étaient autorisés à héberger les albums sur leurs propres sites internet afin de les mettre en téléchargement à leur tour, la diffusion des albums se ferait sur le principe de la boule de neige, et les dons à l'association source augmenteraient naturellement, en parallèle avec l'augmentation de la diffusion des albums. Hélas ce type de rediffusion n'est pas souhaité par l'association Savoir Sans Frontières, allez savoir pourquoi. Il suffirait pourtant d'en définir précisemment les conditions.
Tel qu'elle est financée actuellement, et ce depuis le début, l'association ne peut QUE péricliter, en se relançant de temps à autre par un appel aux dons reposant UNIQUEMENT sur la capacité de mobilisation que peut déployer Jean-Pierre PETIT via son site internet sur les nouveaux visiteurs de son site.
Par TROIS fois déjà on a pu constater que ce type de financement aboutit à la faillite, et à défaut de changement les mêmes causes reproduiront les mêmes effets : il y aura une nouvelle faillite.
Ce qu'il faudrait faire c'est ce qui est expliqué dans la lettre évoquée au paragraphe 2006 : Au bord de la faillite, lettre dont l'effet a manifestement été nul depuis deux ans (si tant est que des internautes l'aient envoyée...)
L'association Savoir Sans Frontières est dans l'impasse, par construction, et son fondateur semble fermement disposé à l'y laisser.
Rendez-vous à la prochaine faillite.